« Ne cherchez pas le bonheur.
Trouvez simplement l'équilibre.
L'équilibre est une posture
active entre des forces opposées créant l'harmonie. »
Auteur anonyme
Témoignages
Sylvie, écrivaine, 67 ans :
« La séance était à nouveau merveilleuse, et la nuit qui a suivi j’ai dormi plusieurs heures comme autrefois, profondément, avec bonheur. Et puis c’est fou comme cela change ma vie. Maintenant les différends qui surgissent trouvent une résolution en quelques minutes, plus besoin de s’engueuler pendant des heures à coups d’arguments ! Place à la confiance. »
Aude, responsable de formations, 40 ans :
« Je me sens plus légère, plus joyeuse dans tout ce que j’entreprends. Une bouffée d’oxygène ! Merci Sylvia pour ton accompagnement précieux ! »
Paul, ingénieur, 34 ans :
« Là où je sens le plus grand effet de cette méthode, c’est en situation de stress. Je suis plus posé, je grignote moins ou plus du tout entre les repas, ce qui me dérangeait depuis longtemps et que je n’arrivais pas à changer. »
Pedro de Alcantara, auteur de « La Technique Alexander, principes et pratique » editions Dangles :
« Sylvia est une collègue hors pairs, brillante et dans sa compréhension de la Technique Alexander et dans ses capacités de pédagogue. »
Marianne, harpiste, 24 ans :
La Technique Alexander m'a permis de prendre du recul afin de ne plus « foncer tête baissée » sur chaque objectif de la journée. Elle m'est d'une grande aide dans la gestion du stress, des situations difficiles. Je retrouve du calme dans le corps très rapidement et donc ma tête ne se laisse plus « déborder ». Je gère mieux les crises et avec une économie en énergie que je trouve impressionnante ! »
Cécile, juriste, 29 ans :
« Je me sens si bien, si pleine et détendue après la séance ! Qu’est-ce que c’est agréable, qu’est-ce que ça fait du bien ! »
Catherine, infirmière, 59 ans :
« De plus en plus, je trouve que la Technique Alexander est une méditation en mouvement... Je suis beaucoup plus en relation avec moi-même. »
Isabelle, ingénieure, 42 ans :
« J’ai l’impression de moins forcer, d’avoir une attitude de plus en plus juste et de moins me fatiguer... »
Michel, joueur de tennis amateur, 48 ans :
« Je suis plus détendu quand je joue au tennis. Je retrouve les beaux services que je faisais il y a dix ans. Mes partenaires me demandent si je reprends des cours particuliers ! »
Paul, tromboniste, 32 ans :
« J’ai rapidement perçu une amélioration notable de l’usage de mes bras et une diminution considérable des douleurs, voire la disparition de certaines d’entre elles. Je viens de ressentir aujourd’hui, en courant et en marchant, le rebond de mon squelette ! J’ai l’impression d’être Jonathan Livingston ! »
Juliette, flûtiste, 20 ans :
« Je me sens plus posée dans tout ce que je fais. »
Etienne, violoniste, 50 ans :
« Petit à petit mon jeu de violon a évolué parallèlement à mes leçons de Technique Alexander. Mes épaules se sont allégées, ce qui a redonné de la fluidité à mes gestes et à mon jeu. Ma sonorité s'en est trouvée embellie et mon instrument a cessé de m'agresser les tympans. J'ai retrouvé le bonheur de jouer avec toute mon énergie et sans fatigue excessive. Merci à Sylvia qui sait admirablement nous guider dans cette belle voie. »
Corinne, responsable marketing, 25 ans :
« J’ai plus confiance en moi, je suis plus détendue dans mes contacts avec les autres. »
Marc, altiste, 42 ans :
« Nous avons la chance d'avoir une pédagogue exceptionnelle qui enseigne la méthode Alexander. Les séances avec toi, Sylvia, sont toujours très enrichissantes et passionnantes. Merci pour ta disponibilité et ta patience ! »
Marie, professeur d’anglais, 33 ans :
« Je suis très touchée de constater que mon corps me parle avec ses maux. Je n’en avais pas conscience avant de pratiquer la Technique Alexander. Mon corps réagit maintenant plus rapidement au mauvais usage que je fais de lui, je le perçois plus distinctement. »
Cathy, bibliothécaire, 34 ans :
« Je suis surprise de voir à quel point j’évolue. Je découvre en moi de nouveaux possibles... Cette méthode m’ouvre de nouveaux mondes que je ne soupçonnais pas. Je suis plus posée, plus stable, je peux lâcher prise, j’accepte les choses au lieu de me bagarrer avec elles comme je le faisais avant. »
Delphine, cavalière amateure, 38 ans :
« Je progresse avec mon cheval, qui est de plus en plus calme. Je comprends enfin ce que veut dire mon instructeur quand il me dit qu’il faut être « plus dans mon assiette ! ».
Pierre, joueur de tennis professionnel, 28 ans :
« J’ai trouvé un moyen d’appliquer pendant les matches ce qu’on fait ensemble avec Sylvia pendant les séances, en pratiquant une sorte de contrôle anti-crispation entre les échanges ; ça m’aide beaucoup ! »
